TEST – Aveine : L’aérateur de vin connecté est-il vraiment utile ? Découvrez l’avis de nos oenophiles. (Code promo)

Voici désormais quelques années que je m’intéresse à l’œnologie, et je suis tombé il y a quelques mois sur un appareil insolite qui a retenu mon attention : un aérateur de vin connecté. En tant que passionné de nouvelles technologies, aurais-je trouvé un produit qui me permet d’allier deux de mes passions ?  Après avoir pris contact avec le constructeur Aveine, celui-ci a accepté de me prêter un appareil durant un mois. Je me suis dit que cela valait la peine de prendre ma plume pour rédiger mon premier article sur ce site afin de vous livrer mon retour d’expérience, en toute indépendance.

Aérer un vin, à quoi ça sert ? 

En bref, aérer un vin consiste à l’oxygéner, ce qui est indispensable pour que le vin puisse développer tout son potentiel après être resté de long mois ou années en bouteille. La dégustation devient alors plus agréable et les  différents bouquets d’arômes plus marqués car ils auront pu se développer davantage. 

Pour un vin rouge, l’aération va permettre aux tanins de s’assouplir et d’être plus agréables au palais ; surtout pour ceux qui sont encore dans leur jeunesse. Pour les vins blancs, elle va équilibrer l’acidité éventuellement trop présente des vins jeunes.

Cette aération peut se faire de manière traditionnelle via une ouverture à l’avance de la bouteille, via un passage en carafe ou via un aérateur “basique” qui consiste en un embout plastique qu’on fixe sur la bouteille.

La durée d’aération d’un vin peut varier en fonction de nombreux paramètres: tels que l’âge du vin, son cépage, la région dont il provient, etc… Sport risqué s’il en est car 

  • Une aération trop courte pourrait donner une impression de vin “fermé” ou inachevé
  • Une trop longue aération pourrait provoquer une atténuation des saveurs. 

Un vrai casse-tête donc pour savoir combien de temps ouvrir sa bouteille à l’avance ! Par ailleurs, si certains vins demandent une longue aération avant service, n’oubliez pas de mettre votre réveil à cinq du matin pour que le vin soit correctement aéré pour le dîner du dimanche midi avec vos beaux-parents. Bref, au revoir la spontanéité et bonjour la prise de tête…

Aveine a donc pour ambition de nous simplifier notre vie d’amateurs du divin breuvage en proposant son aérateur connecté. La promesse en résumé : sortir de sa cave sa “bouteille du dimanche” à 11h58 ; scanner l’étiquette à 11h59 – qui, via reconnaissance, va régler automatiquement le niveau d’aération; et enfin déboucher et servir à 12h pile un vin qui nécessite “normalement” 8h d’aération… Aveine réussi à aérer le vin sans additif chimique, mais “simplement” en injectant de l’air au vin qui est versé.

Un dessin valant mieux qu’un long discours :

Alors gadget dispensable pour geek hyperconnecté ou vrai accessoire qui apporte une plus-value aux œnophiles ?

Déballage et qualité de fabrication

La boite est de belle qualité, finition irréprochable et design léché. L’aérateur est livré avec son livret explicatif, le socle de rechargement et un câble USB. Petit plus appréciable, un petit sac en tissu est également livré pour stocker et/ou transporter le produit.

L’aérateur en lui-même est de très belle réalisation, avec une esthétique “classieuse” qui vise à joindre l’utile (pour nos papilles) à l’agréable (pour nos mirettes). On voit que le produit s’adresse à un public passionné, et de professionnels. 

Il semble également robuste et – même si je ne l’ai évidemment pas testé – semble pouvoir résister à une dégringolade accidentelle de la table. Attention à bien positionner l’appareil sur son socle de recharge ; et une fois lancé il faut compter trois heures d’attente avant une recharge complète. 

L’écran tactile offre plusieurs petits logos qui permettent de prendre connaissance de son statut de charge et de connexion Bluetooth avec le smartphone. Au centre de cet écran tactile, on retrouve le niveau d’aération sélectionné – et s’il est réglé automatiquement par l’application – on peut également le modifier d’un déplacement tactile.

Bon point observé : même après une semaine sans utilisation, le niveau de batterie n’a pas bougé. Il est d’ailleurs possible de régler une mise en veille automatique de l’appareil après une, deux ou cinq minutes. En termes d’entretien rien de plus simple : il suffit de rincer à l’eau froide puis à l’eau chaude l’aérateur après utilisation.

L’application

Fonctionnalités 

Pour faciliter notre vie et déterminer automatiquement le nombre d’heures d’aération requises, une application est mise à notre disposition. Son utilité est de nous permettre de scanner l’étiquette du vin et de régler automatiquement l’aérateur. Un compte est requis pour utiliser l’application, mais une authentification via compte Google est permise. Cela permet donc d’accéder rapidement au contenu.

L’application détecte rapidement l’aérateur et je n’ai pas constaté de soucis de déconnexion. Une fois l’appareil appairé, plusieurs mises à jour sont détectées et installées sur l’aérateur.

Pour connaître le niveau d’aération requis de la bouteille sélectionnée, c’est d’une simplicité enfantine : il suffit de scanner l’étiquette et l’application va reconnaître le vin sélectionné avant de paramétrer automatiquement le niveau d’aération requis sur l’aérateur. On peut alors immédiatement servir.

L’application reprend également plusieurs parties, telles qu’un profil reprenant le nombre et l’historique des vins scannés.  Point sympa à noter : l’application est gratuite (aucun abonnement n’est requis) et utilisable même sans l’aérateur !

Reconnaissance des vins

Aveine annonce 75.000 vins reconnus dans sa base de données en cette fin d’année 2022 ; et qu’une centaine de vins sont ajoutés quotidiennement par les utilisateurs. Je me suis amusé à scanner une cinquantaine de vins différents en panachant les vins français, espagnols, italiens et allemands. En moyenne, une bouteille sur deux a été reconnue, et le contenu de la base de donnée est assez orienté sur les vins français;

La durée d’aération dépendant également de l’âge du vin, le millésime. A titre d’exemple j’ai scanné un vin du Haut Médoc du Château du Taillan. Pour le millésime 2012 l’application recommande 4 heures, tandis que pour le millésime 2018 on passe à sept heures. Dans ce cas, si on demande à l’application de reconnaître à la fois le vin et le millésime correct, on descend à 18% de reconnaissance. Au vu de l’étendue des vins existants, il est bien logique que l’application ne reconnaisse pas tous les vins scannés. Cela reste cependant un axe d’amélioration conséquent pour Aveine d’étendre sa reconnaissance ; surtout quand il existe des applications comme « Vivino » que je n’arrive que rarement à prendre en défaut.

Que se passe-t-il si ma bouteille n’est pas reconnue ?

Aveine a mis en place des stratégies de détermination assez efficaces pour les bouteilles ne figurant pas encore dans l’application: 

  • Si le vin est reconnu, mais son millésime n’existe pas encore dans la base de données, alors il suffit d’ajouter le millésime en question et le système va adapter les heures d’aérations requise.
  • Si le vin n’est pas reconnu, alors on peut remplir un petit formulaire qui, sur base des caractéristiques encodées (région, appellation, cépages, millésime, degré d’alcool, etc.) va calculer le niveau d’aération requis. Plus l’encodage sera précis, plus la fiabilité sera élevée. 

A noter que ces formulaires sont par la suite validés dans la semaine ; ce qui peut amener à une révision de la durée d’aération.  Le vin et son millésime sont alors intégrés dans la base de données d’Aveine; et reconnu lors du prochain scan. 

Dans tous les cas, Aveine indique au travers d’un indice de fiabilité à quel point l’algorithme est sûr de son coup quant au nombre d’heures proposé. On garde la liberté de changer le niveau d’aération manuellement grâce à l’écran tactile; et ainsi adapter la dégustation à ses préférences personnelles.

Scénarios du test

Bon assez parlé, rentrons dans le vif du sujet : la dégustation ! Mon premier cas de test se porte sur un Saint-Emilion Grand Cru 2016 (Château Simard) car l’application me recommande un niveau d’aération élevé : huit heures.  Soyons honnêtes, sans l’aérateur je n’aurais pas ouvert la bouteille à 10h du matin pour qu’elle soit correctement aérée pour le souper… C’est justement l’occasion de voir ce qu’apporte l’appareil.

Je verse tout d’abord un verre directement au débouchage de la bouteille afin d’avoir un verre “de référence” (sans aération spécifique) avant de disposer l’aérateur.  On positionne juste l’aérateur sur la bouteille et, une fois vérifié que le bon niveau d’aération est sélectionné, on verse.

 

En bouche, la différence entre les 2 verres est notable : le vin versé via l’aérateur développe nettement plus de puissance et de longueur, sans compter que les tanins se font plus savoureux, et qu’une nouvelle gamme d’arômes se libère (vanille, par exemple). Cela apporte sans conteste une amélioration au vin.

Étant jouette de nature, j’en profite pour changer via l’écran tactile le niveau d’aération ; ce qui me permet de voir les différences gustatives entre une aération à  4 heures, 8 heures, 16 heures ou 24 heures pour la même bouteille : elles sont notables – même pour l’amateur que je suis.

Bon c’est bien tout cela mais la dégustation d’un vin est parfois (souvent ?) assez subjective… En plus de cela, je me demande si je ne suis pas influencé par un “biais de confirmation” du fait de savoir quel vin a été versé via l’aérateur ? 

Pour limiter cette subjectivité, j’ai organisé 2 sessions de tests : 

  • Entre amateurs où j’ai convié cinq autres œnophiles au palais aguerri pour une dégustation “à l’aveugle” de quatre vins totalement différents. (Merci à Olivier, Quentin, Julien, Arnaud et Caroline d’avoir joués le jeu).
  • Avec un professionnel : Robert Rouelle qui est sommelier, formateur accrédité pour la Bourgogne, le Rhône et le Languedoc-Roussillon; fondateur de L’Ame des Vins, Club de Dégustations & de Promotion des Vins. A noter également que Robert comptabilise de nombreuses participations aux concours de dégustation à l’aveugle en Belgique et en France organisés par la Revue des Vins de France (RVF) et ses performances remarquables lui ont permis d’être vice-champion de France et de représenter la Belgique au Championnat du Monde en 2020. Merci également à lui d’avoir apporté son éclairage professionnel à cet article !

Ils vont m’aider à répondre aux questions suivantes en dégustant un même vin servi de différentes façons, et ce à l’aveugle (sans savoir quel vin provient de l’aérateur).

 

L’aveine apporte-t-il une plus-value lors du débouchage d’une bouteille ?

Pour cette première question coté “amateurs”, je sélectionne un vin blanc espagnol (Palacios Remondo Rioja Placet Valtomellose 2018) pour lequel l’application me propose 4 heures d’aération. A chaque personne, je sers un verre avec l’aérateur et un autre servi directement depuis la bouteille, sans aération spécifique.

Les réactions de mes “cobayes” – qui ne savent donc pas quel verre est lequel – ne tardent pas à fuser  : “On sent une différence marquante” ; “je suis étonné je ne m’attendais pas à cela”; “les arômes sont plus ouverts et perdurent plus en bouche”; “le vin est nettement plus rond”.

On ne tarde pas à se prendre au jeu de pousser l’aération au-delà des 4 heures proposées. L’action de l’aérateur est unanimement reconnue : “ça n’a rien à voir, c’est comme deux bouteilles différentes”

Côté Professionnel, le vin servi (Chardonnay Unfiltrered 2019 – Nik Weis Weingut) via l’aérateur Aveine a étonnement un nez un peu moins marqué que le vin servi directement depuis la bouteille ; par contre en bouche il démontre plus de finesse aromatique et est plus expressif.

Pour cette première question, la réponse est donc sans équivoque : c’est un grand OUI !

Aveine peut-il remplacer un carafage traditionnel ? 

Pour nous aider à répondre à cette question, je sélectionne un Bordeaux Haut Médoc, volontairement très jeune (Chateau Le Taillan – Haut Medoc – Cru Bourgeois Exceptionnel 2018). Aveine me propose 7h d’aération.

Nous allons ici comparer le vin :

  • en sortie immédiate de bouteille (sans aération spécifique)
  • sortie de bouteille avec l’aérateur Aveine réglé sur 7 heures d’aération
  • aéré 7h en carafe traditionnelle

Nos dégustateurs amateurs identifient assez facilement le vin qui n’a pas du tout été aéré : il y a une nette différence (au niveau de l’astringence, de l’acidité et des tanins) par rapport aux verres aérés en carafe et via l’appareil.

Par contre, il est nettement plus ardu de départager les verres aérés avec la carafe et l’appareil. La différence est mince, et nous ne serons finalement que deux sur six à avoir correctement identifié à l’aveugle chaque verre.

Avec Robert, notre professionnel, nous dégustons également un vin bordelais (Saint-Emilion grand cru Château BelRegard 2016) qui nécessite 5 heures d’aération.
La différence est dans ce cas plus marquée !  Avec l’aérateur Aveine,  le vin apparaît comme nettement plus “à maturité”, plus facile à boire (“gouleyant”); avec le cépage Merlot qui va ressortir et donner de la rondeur et des arômes fruités.

Tandis qu’avec la carafe c’est le cépage “Cabernet Franc” qui va prendre le dessus : les tanins vont sembler plus graveleux et les arômes de bois dominent le côté fruit.

Robert me fait comprendre que cette différence s’explique somme toute assez logiquement : dans la carafe, seule une partie du vin est au contact de l’oxygène; tandis qu’avec l’aérateur, c’est l’entièreté du vin qui est oxygéné lors du service.

Grâce à cet éclairage professionnel, nous pouvons donc répondre “OUI” à cette question.

Aveine apporte-t-il une plus-value par rapport à un aérateur “basique”?

Pour cette question, nous mettons en comparaison un aérateur “basique” (Le Creuset) avec l’aérateur connecté. Pour test, j’ai choisi un vin italien très rond et ample (Nativ Eremo San Quirico 2017); pour lequel l’aérateur connecté me propose 6 heures d’aérations.

Si la différence entre les 2 verres est moins marquée que pour le blanc, elle est quand même bien présente, notamment au niveau du nez et de l’amplitude que va prendre le vin en bouche.

Pour nos dégustateurs, il n’y a pas photo, c’est bien plus qu’un gadget et l’efficacité est démontrée : réponse “OUI”.

Les différents niveaux d’aération (de 1 à 24 heures) apportent-ils une plus-value au vin ?

Pour le dernier test à l’aveugle, j’ai choisi un vin encore radicalement différent : un Sauternes qui est un vin “liquoreux” (lisez “sucré”) – volontairement encore assez jeune (Château Doisy-Daene – Barsac Grand Cru Classé – 2017). Le vin sans aération reste assez “fermé” (les arômes sont peu identifiables).

L’aérateur propose 4 heures d’aération. Dans ce cas, c’est sans doute un peu trop peu car nous trouvons la différence très légère entre le vin non aéré depuis la bouteille et l’aération de quatre heures.

Ce test nous permet de tester en réglant manuellement sur l’écran tactile de l’aérateur les différents niveaux d’aération ; et on va trouver un vin nettement plus élégant avec 8 heures ou 24 heures d’aération. Des arômes de confiture, de fruits exotiques vont se développer.  En conclusion, il y a – encore une fois – une énorme différence de goût entre le vin non aéré et le vin aéré par le produit. C’est donc un “OUI” sans réserve à cette question : les différents niveaux d’aérations vont apporter une perception différente du vin.

Quel rapport qualité/prix ?

Aveine commercialise son aérateur au travers de 2 modèles distinct : 

 

Code promo : Grâce au code “95964e4“, vous obtiendrez une réduction de 10% sur chacun des modèles

 

A l’évocation des tarifs, les “amateurs” sont assez étonnés par le placement tarifaire, élevé à leurs yeux. Pour le modèle “Original”, la somme de 399€ semble unanimement trop élevée – en tous cas pour nos portefeuilles de simples amateurs. D’autant que nous n’avons pas rencontré de vins lors de nos scans ou tests qui nécessitent plus de 12h d’aération.

Aveine recommande d’ailleurs ce modèle plus pour un usage plus spécifique et professionnel notamment avant de mettre les assemblages en cuve ou tout au long du vieillissement du millésime pour réaliser des tests.

Pour le modèle “Essentiel” à 250€, le sujet est clivant 

  • D’un côté, cela reste un prix élevé ; qui refroidit certains amateurs qui n’estiment pas pouvoir l’amortir en l’utilisant suffisamment régulièrement ; ou pour qui l’aérateur “basique” à 20€ est suffisant ; malgré la nette différence d’effet sur le vin.
  • D’un autre côté, la qualité de fabrication élevée du produit a – évidemment – un certain coût. Il faut également reconnaître le modèle économique qui est de notre point de vue très “honnête” :
    • On peut utiliser l’application gratuitement, sans abonnement ; et ce même pour les personnes qui ne disposent pas de l’aérateur. 
    • Une fois l’aérateur acheté, il n’y a pas de coûts cachés ou récurrents à prévoir, ni de pièces à remplacer comme certains autres produits ont pris l’habitude de le faire. De plus, on peut compter sur une base de données en constante amélioration.
  • Enfin, il faut prendre en compte la “gamme” de vins avec lesquels on va utiliser l’aérateur :  A partir du moment où on a déjà fait l’acquisition de quelques “bonnes bouteilles”, le gain apporté par l’aérateur peut valoir le coup pour une dégustation dans les meilleures conditions. A contrario, si c’est pour utiliser 2x par an l’aérateur sur une bouteille achetée à la supérette du coin, il vaut mieux passer votre chemin…
  • Les professionnels, eux, ne vont sans doute pas trop sourciller à l’évocation de ce tarif, vu l’utilisation intensive qu’ils en auront et leur possibilité de faire passer cela en frais professionnels.

Au final, cela restera une appréciation personnelle, basée sur son utilisation personnelle et au budget que chacun consacre à sa passion au vin.

Conclusions

Aveine nous délivre un très beau produit ; bien loin de l’idée préconçue du “gadget” que certains pourraient en avoir. Lors de tous les tests, l’effet sur le vin en bouche est évident lors de la dégustation, et apporte une vraie plus-value. Tous les “testeurs” amateurs et professionnels impliqués dans ce test ont été convaincus par son efficacité – aussi bien pour le vin rouge que pour le vin blanc.  L’effet produit sur le vin est incomparable avec l’aérateur basique ; et se permet même de dépasser l’effet produit via la carafe.

De plus, il y a une vraie facilité d’utilisation de pouvoir se passer de la carafe et cela permet une certaine spontanéité dans le choix de son vin du jour. La base de données pour la reconnaissance des vins est un axe d’amélioration important. Cependant, celle-ci est enrichie quotidiennement, et la contrainte des vins non-reconnus peut être contournée via l’encodage des caractéristiques du vins pour tout de même pouvoir proposer une durée d’aération.

Reste la question du prix; qui pourra en faire déchanter certains amateurs; mais que tout à chacun devra évaluer à l’aune de sa propre passion/investissement pour le vin. Pour ma part, j’avoue avoir été convaincu et avoir profité des -30% proposés sur le site d’Aveine lors du Black Friday pour acquérir mon exemplaire “Essentiel”. 

Enfin, si je devais résumer en une image mon ressenti, la voici.

Aveine Essentiel (-10% avec le code 95964e4 sur les deux modèles)

249 €
8.7

Efficacité

9.5/10

Qualité de fabrication

9.0/10

Design

9.0/10

Facilité d'utilisation

9.0/10

Application

7.0/10

On aime

  • Efficacité très nette lors de la dégustation, via une aération instantanée
  • Facilité d’utilisation (placer / scanner / verser) et d’entretien
  • Possibilité d’obtenir un niveau d’aération même lorsque le vin n’est pas reconnu via le “scan”
  • Qualité de fabrication
  • Aspect “ludique” pour tester la dégustation suivant différents niveaux d'aération

On aime moins

  • Prix assez élevé
  • Base de données de reconnaissance améliorable
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