Dans une annonce digne d’un blockbuster hollywoodien — avec du bling-bling politique à la clé — le président Donald Trump a dévoilé, le 22 décembre 2025, son projet de flotte de cuirassés “Trump-class” intégrée dans une Golden Fleet destinée à « renforcer la domination maritime américaine ». Ces navires, selon lui, seraient « plus grands, plus rapides et 100 fois plus puissants que tout ce que l’on a vu ». Oui, 100 fois. Non, ce n’est pas une introduction de science-fiction.
Les futurs cuirassés — avec en tête le USS Defiant — sont annoncés comme des mastodontes modernes, avec une déplacement estimé entre 30 000 et 40 000 tonnes. Ça les place bien au-dessus des destroyers actuels et dans une catégorie rarement vue depuis la Seconde Guerre mondiale.
Ces navires devraient être longs d’environ 250 mètres, ce qui en ferait des colosses visibles depuis plusieurs horizons — avant même qu’ils n’aient tiré une seule arme.
Sur le papier (et rappelons-le, seulement sur le papier à ce stade), ces navires seraient bardés de technologies aussi impressionnantes qu’opportunistes :
À noter que certains de ces systèmes, comme les railguns ou certains armements laser soi-disant “révolutionnaires”, sont encore à divers stades de développement ou même abandonnés dans d’autres programmes — ce qui fait hausser les sourcils chez les experts.
Chaque cuirassé de cette Golden Fleet est estimé coûter entre 10 et 15 milliards de dollars, soit nettement plus qu’un destroyer moderne mais dans la même échelle que certains des navires les plus complexes jamais construits par la marine américaine.
Avec un objectif de 20 à 25 navires, on atteint un coût total potentiel supérieur à 200 milliards de dollars, sans compter les infrastructures, la logistique et l’entretien — ni le bling si cher à l’annonceur.
Trump a évoqué l’idée d’un début de construction rapide, avec les deux premiers navires envisagés pour être terminés en deux ans et demi, mais les analystes militaires tempèrent : sans financement du Congrès, sans plans détaillés validés par le Pentagone et compte tenu de la complexité des technologies évoquées, on parle probablement d’un début effectif des travaux au début des années 2030, si tout se passe bien.
Ce projet a des airs de mélange entre ambition stratégique réelle et concours de popularité militaro-politique. L’administration appelle à affirmer la puissance maritime face à la montée des ambitions navales d’autres puissances comme la Chine, mais nombreux sont les critiques à souligner que des navires de ce type pourraient être coûteux, difficiles à intégrer dans la flotte existante et techniquement ambitieux bien au-delà des capacités actuelles de production et du calendrier réaliste.
Même si l’annonce a fait vibrer les claviers, il faut garder en tête que annoncer un projet ne veut pas dire le financer, le planifier minutieusement, le maîtriser techniquement, ni le voir flotter un jour. La Golden Fleet reste pour l’instant à la croisée des rêves de puissance, des discours présidentiels et des contraintes bien tangibles de la réalité navale américaine.
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