En outre, du personnel supplémentaire est nécessaire afin de permettre la poursuite de sa croissance et de son internationalisation. Avec des références telles que Mediafin, imec et Microsoft, l’entreprise peut déjà se targuer de belles lettres de noblesse.
« Le secteur du recrutement est un véritable enchevêtrement d’acteurs, de processus, de canaux et de formats différents. Cela est tout sauf transparent et efficace. Avec notre solution, nous rassemblons ces divers éléments sous une seule et unique plateforme accueillant d’une part les recruteurs et d’autre part les entreprises, qui bénéficient dès lors de gains inouïs en matière d’efficacité et de transparence. » explique Franky Anciaux, CEO et fondateur de Radahr, jouissant lui-même d’une grande expérience du secteur. « Cette injection de capital nous permet d’accélérer notre croissance ainsi que notre développement, y compris à l’échelle internationale. »
Concrètement, Radahr rationalise le processus de recrutement pour toutes les parties travaillant avec elle et offre aux entreprises la possibilité d’œuvrer sur plusieurs canaux de recrutement sans pour autant en perdre une vue d’ensemble. Elle permet également d’éviter un certain nombre d’erreurs ou de problèmes courants, tels que la double présentation des postulants, le mismatching ou les éventuels préjugés à l’encontre des candidats. L’atout majeur ? Son système unique de feedbacks qui permet une gestion centralisée des performances.
En effet, comme le souligne Franky Anciaux : « Seuls 18% de tous les candidats participant à un processus de recrutement reçoivent un feedback constructif. En cette ère digitale, cela est (trop) peu, alors que ce retour peut être très utile tant pour les recruteurs que pour les postulants. Chez Radahr, donner un feedback fait partie intégrante de notre solution, ce qui rend le ratio beaucoup plus élevé : 95% des candidats ont ainsi un retour dans les 48 heures. »
La solution va même un cran plus loin : Radahr peut également fournir de nouveaux enseignements sur la manière dont un candidat parcourt le processus de sollicitation, ou encore sur la force d’un recruteur dans une profession ou un secteur en particulier. Il est aussi possible d’élargir le champ d‘action, par exemple en allant au-delà des frontières linguistiques et géographiques. Un luxe qui n’est pas superflu lorsque l’on s’attend à plus d’un demi-million de postes vacants en Belgique d’ici 2030.
Pour Thomas Truyens, directeur d’Intersig NV, qui a embarqué avec Radahr dès les débuts : « La plateforme est un pont entre de nombreux contacts internes et externes. Dans le passé, chez Intersig, il y avait une personne qui gérait les recrutements : briefer les gens, conserver les informations dans des fichiers Excel, pourvoir les postes vacants, mettre à jour les sites web et autres canaux, … Grâce à Radahr, nous disposons à présent d’un dashboard centralisé qui nous fait gagner beaucoup de temps en nous permettant d’évaluer objectivement tous les postes actuellement vacants et de nous focaliser sur des tâches à plus haute valeur ajoutée. »
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