Pour rappel, Huawei signifie “Bel ouvrage”, c’est pourquoi il a appelé sa filiale R&D FutureWei : “Le futur ouvrage”. Bref, le constructeur chinois a investi quelques paquets de millions de dollars aux Etats-Unis afin d’engager les meilleurs ingénieux pour dresser la ligne directrice à suivre dans un pays où Donald balance à tous va de violents décrets présidentiels qui font douter l’Empire du Milieu.
La réduction des ventes et du commerce aux USA a donc engendré le licenciement des 600 personnes basées en Californie, au Texas et à Washington. En effet, étant donné que Huawei a été placé sur une liste d’équipementiers non légitimes, voire dangereux pour la sécurité nationale, le constructeur chinois a du se résoudre à jeter l’éponge.
De plus, lors du déploiement de la 5G en Amérique du Nord, Huawei a été totalement rejeté en vue d’un “espionnage potentiel” et se retrouve donc sans quasi aucune possibilité de commercialiser la moindre boite de Smarties aux USA.
Et d’après La Libre Belgique, la Corée du Nord aurait fait appel à Huawei, depuis 2006, pour implémenter un nouveau réseau national, sous le couvert de la dictature de Pyongyang, bien évidemment.
En résumé, l’avenir de Huawei ne semble pas très rose en occident, surtout auprès des institutions nationales.
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