Aux États-Unis, la saga TikTok ressemble de plus en plus à une téléréalité : suspens, rebondissements et un président en guest star. Donald Trump, fidèle à son style “je coupe, mais pas trop”, a décidé d’interdire TikTok… puis de donner un délai supplémentaire. Résultat : des millions d’ados américains oscillent entre crise de panique et chorégraphie improvisée pour évacuer le stress.
Tout a commencé avec la menace de bannir TikTok du sol américain, accusé d’être un danger pour la sécurité nationale. Traduction : les vidéos de danse, de recettes express et de challenges absurdes pourraient, selon Trump, cacher un espionnage en règle. De quoi transformer chaque lip-sync en potentiel code secret. Les ados s’en fichent, mais les politiciens, eux, crient à la menace invisible.
Trump a donc sorti le carnet de procès-verbaux : interdiction pure et simple de TikTok. Mais, fidèle à son flair pour le spectacle, il a offert un délai. Un peu comme un prof qui dit : “Ton devoir est en retard, mais je te laisse jusqu’à demain matin, sinon zéro.” Sauf qu’ici, le “devoir” concerne des millions d’utilisateurs et des milliards de dollars en jeu.
Ce nouveau délai (reporté au 16 décembre 2025), c’est surtout une façon de mettre la pression : soit TikTok se trouve un acquéreur américain (coucou les géants comme Microsoft, Oracle ou Walmart qui se frottaient déjà les mains), soit le rideau tombe. Bref, TikTok devait se transformer en produit made in USA pour survivre sur son plus gros marché.
Pendant ce temps, les créateurs TikTok vivent leur meilleure crise existentielle. Que deviennent les rois de la danse en 15 secondes si l’appli disparaît ? Est-ce qu’ils doivent migrer sur Instagram Reels, YouTube Shorts ou, horreur, retourner à Snapchat ? Les hashtags #SaveTikTok explosent, les vidéos d’adieu pullulent, et tout le monde joue la carte du mélodrame numérique.
Mais soyons honnêtes : interdiction ou pas, ces créateurs trouveront toujours une plateforme pour continuer à nous montrer comment faire un gâteau sans four en 30 secondes chrono.
Derrière ce soap opéra numérique (parfois comique, souvent dramatique), il s’agit surtout une question de gros sous et, évidemment, de pouvoir. TikTok appartient à ByteDance, une entreprise chinoise, et les États-Unis veulent s’assurer que les données des citoyens ne partent pas en balade à l’étranger. Trump, lui, en a fait un symbole politique : protéger l’Amérique en coupant l’accès à une appli star. Mais donner un délai, c’est aussi laisser la porte entrouverte à un deal juteux.
Au final, cette interdiction de TikTok ressemble moins à un coup de marteau qu’à une négociation musclée. Le nouveau délai, c’est le suspense d’un épisode final : TikTok va-t-il être racheté ? Les utilisateurs vont-ils devoir déménager ailleurs ? Et surtout, combien de chorégraphies seront encore postées avant que la sentence tombe ?
Une chose est sûre : TikTok, avec ses danses absurdes et ses challenges improbables, est devenu un sujet géopolitique. Et Trump, toujours adepte du timing dramatique, a su transformer une appli pour ados en feuilleton national.
En clair, l’histoire de TikTok aux USA, ce n’est plus une question de chorégraphies virales, c’est devenu un feuilleton géopolitique. Et le nouveau délai de Trump, c’est juste un cliffhanger de plus dans cette série improbable.
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